Rend hommage à ce grand poète français,
Chéri par tous, sans élitisme,
Qui s'est nourri de la mouvance surréaliste d 'André Breton,
Et de l'arrivée du jazz en France.
Il a introduit la poésie au music hall
Débarrassé la chanson du carcan réaliste pour lui apporter
Cette légèreté qui fait qu'une chanson vole.
Et si l'âme du poète s'est envolée comme un ange de Cocteau,
Ses chansons courent toujours dans les rues.


« Le temps est le temps. Il est toujours le même, mais nous passons dedans, et je préfère marquer notre époque qu'être marqué par elle.
Je fais actuellement le même genre de chansons que je faisais il y a 30 ans, absolument comme un pommier fait des pommes. Je n'ai du reste aucun mérite à cela ».


Cette appellation, qui lui vient de Gaston Bonheur, lui allait à ravir, lui qui se plaisait, dans ses chansons, à bondir du Soleil à la Lune ou à virevolter d'étoiles en planètes
Gaston Bonheur écrivait :
« Shakespeare aimait ces jeunes vagabonds que l'on croise au coin des rivières ou au prochain tournant du ciel, un gros coquelicot au lèvres, les yeux perdus, un refrain en tête et qui traînent la savate en ayant l'air de voler un peu au-dessus des chemins. Il les appelait gentilshommes de la lune. Charles Trenet est un gentilhomme de la lune. »

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